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education

7 juin 2008

activié pédagogique examen02

Les questions d’environnement n’ont jamais totalement disparu du discours des Verts. C’est leur approche qui trop souvent devient restrictive, au nom d’un utilitarisme à courte vue. Nul ne minore les risques sanitaires liés aux pollutions ; la déplétion des ressources, le changement climatique sont évidemment des enjeux majeurs du point de vue humain. (cf contributions « Crises environnementales »).

Théodore Monod déclarait « je n’aime pas le mot environnement », il remplace trop souvent aujourd’hui le mot « nature ». Terme plus technique, voire plus politiquement correct. « L’environnement » est plus facilement gérable.

Trop souvent on parle de la nature pour l’exploiter, la nettoyer. Les enjeux utilitaires sont clairs, certains n’hésitant pas à envisager sa domestication quasi totale. Comme si l’on pouvait prendre le pari que l’ingéniosité humaine, ses technologies pourraient suppléer totalement les mécanismes complexes, les fonctions essentielles fournies par la biosphère. Certes certains s’enrichissent en essayant d’y suppléer. Mais là n’est pas le seul enjeu essentiel.

Le mot « nature » ne peut continuer à disparaître de notre langage, de celui des Verts. Il est temps de le réhabiliter car, loin de la seule notion réductrice (et souvent méprisante) de la protection des petites fleurs, préserver la nature c’est préserver les relations entre l’homme et la richesse de la vie.

  I)Compréhension .

  1)  On vous appuyant sur les photos, quel est le thème traité par l’auteur ?

  2) que peut –on dire de la nature relatée à travers les photos ?                   Saine, vierge, non polluée

3) est –il toujours le cas à nos jours ?                  Non.elle est polluée

4) Qui en est responsable ? Comment ?        L’homme par son inconscience

5) Etes –vous d’accord avec ce subit la nature comme agression insensée de l’homme ?

  6) Lisons le texte et voyons si l’auteur nous partage la même opinion

  Lecture du texte1

  Que préfère employer l’auteur à la place de « environnement » et pourquoi ?

-Y a-t-il des gens qui défendent la nature ? Comment sont appelés ?

  - Que signifient les « verts » ?

  - De quoi nous rassurel’auteur en fin du texte ? que le mot « nature » ne disparaîtra pas tant qu’il y des amis de la nature.

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5 juin 2008

un enfant demanda à son père:"comment savoir

un enfant demanda à son père:"comment savoir si telle personne est ivre ou pas?"  .

le père lui répondit:"tu vois les deux arbres làbas, une personne ivre les verraitquatre."

mais le petit n'a vu qu'un seul arbre!...

       

5 juin 2008

Comment rédiger une lettre de motivation en Anglais ?

Comment rédiger une lettre de motivation en Anglais ?
Créé par ToutApprendre.com

Description : Un CV, aussi excellent soit-il, ne peut être envoyé seul à un employeur potentiel. Ce mini-cours présente un certain nombre de règles à respecter pour rédiger une lettre de motivation en anglais. Il s'adresse aux personnes qui recherchent un emploi dans un pays anglophone ou dans une entreprise anglo-saxonne basée en France.

5 juin 2008

Les débats

Les relations parentales
(Situations conflictuelles pour s'exprimer en classe de FLE).

Diviser la classe de FLE en sous groupes, distribuer une situation à chaque groupe d'étudiants. Demander leurs réactions, des conseils, des solutions. En deuxième partie de la séance, mise en commun à l'oral et réactions du groupe au complet.

5 juin 2008

Écriture de contes

Écriture de contes


À partir d'une sélection d'ingrédients d'un conte, inventez vous-même un récit. Ecrivez-le ou improvisez en racontant l'histoire autour du fil conducteur qui vous est proposé.

Ces consignes d'écriture ou contraintes de récits, parfois choisies, parfois tirées au sort, serviront aux professeurs des collèges et des écoles pour animer une activité mais aussi aux parents pour renouveler leur inspiration.

Après sélection de votre part, en cliquant sur chacun des mots soulignés, l'ensemble de la consigne peut s'imprimer sur une page.   

Le héros ou l'héroine
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5 juin 2008

assimilation

L'assimilation

Il existe trois sortes d'assimilation qu'on peut identifier. Examinons-les à tour de rôle.

Prononcez rapidement les exemples suivants:

  1. peuple puis exploits
  2. je savais; je te vois
  3. l'école secondaire

Dans le premier cas, le [l] de peuple, le [ ] de puis et le [l] de exploits sont dévoisés: les cordes vocales ne vibrent pas. Pourquoi? C'est que la consonne qui précède dans la chaîne est déjà non-voisée, et l'absence de voisement persiste dans le son suivant. Une assimilation de la sorte, où un son influence le son suivant, s'appelle l'assimilation progressive.

Voyons maintenant le deuxième cas. Dans une prononciation rapide, le pronom personnel au début se prononce non pas comme [] mais comme []. On dit: [sav] plutôt que [ sav]. La cause est la consonne non-voisée qui suit le pronom: au moment de prononcer le je on anticipe déjà l'absence de vibration des cordes vocales dans cette consonne, et le résultat est le dévoisement de la consonne du je. On parle alors d'assimilation anticipante ou régressive.

5 juin 2008

etude d'un conte

13 mai 2008

fleur brillante

5 mai 2008

le saussurisme

L'ACTUALITÉ DU SAUSSURISME

Algirdas-Julien GREIMAS

à l'occasion du 40e anniversaire de la publication
du « Cours de linguistique générale ».

(Texte paru dans Le français moderne, 1956, n°24, p. 191-203 [1] )

Il serait inexact de dire que le nom de Ferdinand de Saussure est inconnu dans les milieux des linguistes français. Il n'est pas moins vrai cependant que la théorie saussurienne reste presque ignorée de la « philologie française » fidèlement attachée, du moins dans ses principales contributions, à l'esprit de la grammaire historique du XIXe siècle. Reflétant la conviction à peu près unanime de ses maîtres, un jeune linguiste de 1935 avait encore tendance à considérer avec dédain les travaux des écoles de Genève et de Prague, dont l'ésotérisme, disait-on, cachait mal les spéculations purement théoriques, contraires aux faits linguistiques positifs et au bon sens le plus élémentaire.

Et cependant, quand ce même linguiste est amené à lire, une vingtaine d'années plus tard, la confession d'un sociologue qui reproche à ses maîtres de l'entre-deux guerres d'avoir été « plus occupés sans doute à méditer l'Essai sur les données immédiates de la conscience que le Cours de linguistique générale de F. de Saussure » [2], ou cette affirmation d'un philosophe que « Saussure pourrait bien avoir esquissé une nouvelle philosophie de l'Histoire » [3] ; quand il se voit obligé de réviser son attitude à l'égard du saussurisme grâce, en partie du moins, à cette « redécouverte » de Saussure par des sciences de l'homme autres que la linguistique, il se trouve devant la situation pour le moins paradoxale de l'héritage saussurien en France.

L'intérêt que montrent actuellement pour la linguistique les différentes sciences de l'homme, ne fait que mieux ressortir la désaffection inquiétante de la linguistique française à l'égard de la réflexion méthodologique. Le cloisonnement étanche des programmes universitaires, la, séparation arbitraire des disciplines isolent le linguiste, depuis son premier certificat de licence jusqu'à la fin de sa carrière, dans une solitude étouffante. La méfiance de l'historien à l'égard du saussurisme dont il n'a retenu, en premier lieu, que la condamnation péremptoire, au nom de la synchronie, de l'objet même de ses études, le conduit à s'en tenir à ses propres méthodes, dont il sent peut-être quelquefois la faiblesse, plutôt que de renier d'un seul trait l'enseignement de ses maîtres et les résultats acquis au prix des efforts persévérants de plusieurs générations de chercheurs.

On comprendra donc facilement que les lignes qui suivent, loin d'esquisser une nouvelle apologie, voudraient plutôt montrer l'efficacité de la pensée de F. de Saussure qui, dépassant les cadres de la linguistique, se trouve actuellement reprise et utilisée par l'épistémologie générale des sciences de l'homme. Au lieu de souligner les antagonismes à l'intérieur de la linguistique, la description de ces quelques thèmes saussuriens les plus généraux devrait, au contraire, mettre en évidence la valeur heuristique de la linguistique prise globalement. Vue du dehors, l'opposition des deux linguistiques, statique et historique, apparaît comme un cas particulier d'un malaise général dont souffrent les sciences de l'homme et qu'elles sont appelées à surmonter. On ne voit pas pourquoi la linguistique ne pourrait représenter, une fois de plus, ce lieu privilégié de dépassement.

L'originalité de la contribution de F. de Saussure réside, croyons-nous, dans la transformation d'une vision du monde qui lui fut propre [4] - et qui consiste à saisir le monde comme un vaste réseau de relations, comme une architecture de formes chargées de sens, portant en elles-mêmes leur propre signification – en une théorie de la connaissance et une méthodologie linguistique. Car, loin de se satisfaire d'une phénoménologie descriptive ou, comme l'appelle Louis Hjelmslev, d'une « description pure, plus proche de la poésie que de la science exacte » [5] - et que nous ne connaissons que trop bien à travers les « descriptions phénoménologiques » de plus en plus nombreuses –, Saussure a su éprouver la valeur épistémologique de son postulat en l'appliquant à une science de l'homme particulière, la linguistique. C'est en partant du concept linguistique du signifiant, indissolublement lié au signifié (celui-ci n'étant connu que par celui-là), de la notion de langue, cet être à double face, conçue comme « une forme et non (comme) une substance » [6], que s'effectue le passage de la linguistique aux autres sciences humaines, l'extrapolation méthodologique du saussurisme, et que s'affirme le postulat saussurien d'un monde structuré, saisissable dans ses significations

5 mai 2008

la langue des medias

Langue française et médias

La Semaine de la presse dans l'école, partenaire du Français comme on l'aime

Depuis 1990, les établissements scolaires français accueillent les médias écrits et audiovisuels pour travailler sur l'information : c'est la semaine de la presse dans l'école.
À l'initiative du Centre de Liaison de l'Enseignement et des Moyens d'Information (Clemi) du ministère de l'éducation nationale, des journalistes viennent présenter leur métier et sensibiliser les élèves au décryptage de l'information.

Du 16 au 21 mars 1998, 4,3 millions d'élèves et plus de 15300 enseignants prennent part à la neuvième Semaine.
638 médias français s'y associent : 381 titres de la presse écrite, 199 radios, 58 stations de télévision et agences de presse.

Cette opération s'inscrit en 1998 dans le cadre d'un partenariat entre le CLEMI et la délégation générale à la langue française, qui organise, du 14 au 22 mars sur l'ensemble du terriroire, le Français comme on l'aime, semaine de la langue française et de la francophonie.

Cette année, le CLEMI et la DGLF vous proposent également des animations sur Internet :

le jargon de la presse : à partir d'un texte, découverte des termes utilisés par les professionnels de la presse.

les titres de la presse : comment se conçoit un titre d'article ?
Avec la découverte d'aspects formels et stylistiques dans la presse écrite.

les mots des médias : exploration de l'univers métaphorique, historique et géographique des mots utilisés couramment par les médias.

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